L’utilisation des bandages de contention

Les contentions vasculaires sont utilisées dans la prévention de nombreux troubles comme la thrombose veineuse. Les bandes trouvent également leurs utilités dans le traitement des œdèmes ou dans le cadre d’une mauvaise circulation sanguine. Les kinésithérapeutes sont chargés de mettre en place l’élément sur les pieds du patient.

Comment choisir l’orthèse vasculaire ?

Avant d’installer le bandage de contention, il faut d’abord choisir le modèle adapté aux problèmes du patient. L’erreur est d’utiliser le même bandage, quel que soit le souci clinique rencontré. Selon les matériaux employés, il est possible d’améliorer la circulation sanguine. D’autres tissus ont cependant le rôle d’en finir avec les œdèmes. Le kinésithérapeute doit conseiller la contention élastique pour la prophylaxie des thromboses veineuses ou les varices. L’élément est présenté avec des bandes à varices. Il est envisageable de voir sur le marché des bandes moyennes ou longues. Son élasticité est conçue pour apporter de la pression aux membres à traiter. Grâce à la compression, les éventuelles dilatations des vaisseaux sanguins n’auront pas lieu. Au vu de l’information, il est donc recommandé de considérer l’élargissement des vaisseaux. Quand le sang circule difficilement, le praticien diminuera la compression. Pour ce faire, le praticien étirera le tissu avant sa mise en place. En clair, le but de la manœuvre est de trouver la bonne intensité de l’entrave. Le nombre de couches aura également une importance capitale dans la thérapie du patient. À part les bandes élastiques, il existe des bandages plus rigides. Elles sont plus riches en coton. Elles ne se prédestinent donc pas pour une compression forte, mais pour le simple maintien. Elles sont visibles en version courte. Il faut toutefois mentionner que sa faible pression séquentielle permet pareillement le traitement d’œdème.

Comment utiliser les bandages de compression ?

Le bandage peut être installé sur des patients alités. La compression est exprimée en mmhg. Les sujets sans risque ne devront pas aller au-delà de 15 mmhg. Les patients sans risque sont définis comme ceux ne présentant pas encore des signes graves de thrombose veineuse. Idéalement, la pression devrait être située entre 10 et 15 mmhg. En fait, ils nécessiteront seulement des préventions primaires. À noter qu’il est possible de trouver jusqu’à trois niveaux de prévention. Les profils qui présentent des pressions élevées feront l’objet d’une prévention secondaire. Dans ce cas précis, la pression fournie sera supérieure à 15 mmhg. À cet effet, la dilatation est réduite. Lorsque l’équipement est à incorporer sur les pieds, il faut prendre en compte l’abaissement des veines dorsales. Si le praticien était face à une turgescence, il est nécessaire d’appliquer une force importante. Dans le cadre d’un décubitus, l’acte contraire sera accompli. Dans la prévention tertiaire, la pression procurée est de 20,1 mmhg à 36 mmhg. Cette solution est sollicitée pour réduire la taille d’un œdème. Par ailleurs, elle sera envisagée pour les profils atteints de thrombose veineuse.

En conclusion, les bandages de compression existent en versions souples et rigides. Les deux tissus de conception sont différents à cause de leur longueur et composition. Elles sont également dissemblables pour le niveau de compression octroyé. Le kinésithérapeute devra serrer l’élément en fonction des observations et de la dilatation des vaisseaux

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